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L'actualité sur les technologies avancées

27.03.2025 10:31

La facturation électronique : êtes-vous prêt pour 2026 ?

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À compter du 1er septembre 2026, une réforme entrera en vigueur, marquant le début d'une ère...


Cat: Corporate, M&A et restructuring, Droit des Technologies Avancées, Commerce électronique, Contrats et contentieux informatiques , Droit fiscal, Veille Juridique
26.03.2025 10:44

La CNIL dévoile les thématiques de contrôles prioritaires pour 2025

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Après 321 contrôles effectués en 2024, la CNIL a décidé de se concentrer, en 2025, sur les données...


Cat: Données - Bases de données – RGPD / DPO - Big Data et intelligence artificielle, Droit des Technologies Avancées, Les essentiels, Veille Juridique
25.03.2025 15:55

Vendre un bien qui ne vous appartient pas peut coûter cher !

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Condamné au pénal pour faux et abus de confiance suite à la vente illégale d'un droit de...


Cat: Baux commerciaux & professionnels - Droit des affaires et de l'Entreprise, Droit fiscal, Veille Juridique
05.03.2025 10:29

Cloud computing : l'ANSSI publie son état de la menace informatique

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Le 20 février 2025, l'ANSSI (Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information) a publié...


Cat: Données - Bases de données – RGPD / DPO - Big Data et intelligence artificielle, Droit des Technologies Avancées, Les essentiels, Veille Juridique
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< L'employeur ne peut pas librement écouter les enregistrements du dictaphone personnel du salarié
12.08.2012 10:45 Il y a: 13 yrs
Categorie: Relations individuelles et contrat de travail
Auteur : Me France Charruyer, Avocate à Toulouse - Conseil & Contentieux

Portabilité de la prévoyance : la double peine en cas de défaut d’information au salarié lors de la rupture de son contrat de travail


L’employeur qui n’informe pas son salarié lors de la rupture de son contrat de travail sur la portabilité de ses droits santé et prévoyance encourt le risque de se voir condamner à verser des dommages et intérêts mais également de se voir condamner à indemniser son ex-salarié pour perte de chance.

S’il y a contentieux, l’employeur devra nécessairement verser à son ex-salarié des dommages et intérêts : la violation par l’employeur de son obligation d’information causant nécessairement un préjudice dont il appartient au juge d’apprécier le montant.

Le cas échéant, l’employeur pourra aussi être condamné à indemniser son ex-salarié pour perte de chance. Cette indemnisation ne sera pas systématique, l’ex-salarié ne pouvant y prétendre qu’autant qu’un des risques couverts par l’ancienne garantie (maladie – accident -décès) se réalise au cours de la période de maintien temporaire prévue par les textes (9 mois maximum).

Le montant des indemnités susceptibles d’être alloué en pareil cas peut être très élevé dans l’hypothèse où le salarié est victime d’une maladie ou d’un accident grave ou invalidant, ou en cas de décès.