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17.12.2024 14:55

Altij & Oratio Avocats récompensé lors du tout premier Palmarès du Droit de Toulouse

Le cabinet Altij & Oratio avocats récompensé lors du Palmarès du Droit 2024

Lauréat du Prix du cabinet le plus innovant et plusieurs distinctions majeures, Altij & Oratio...


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12.11.2024 10:59

Altij & Oratio Avocats rejoint le programme “Your Experts in France”

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08.11.2024 23:18

Soutenez Altij & Oratio avocats au Palmarès du Droit

Notre cabinet participe au "Palmarès du Droit – Toulouse 2024" et nous avons besoin de vous !


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Occupation du bien social par un associé : le rappel opportun que le commodat ne peut se déduire de l’objet social

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28.10.2024 08:24

Comment encadrer le déploiement de l'IA dans vos organisations ? Participez à notre webinaire exclusif !

Rejoignez-nous le 5 novembre 2024 pour un webinaire dédié à la gestion sécurisée et conforme de...


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23.10.2024 21:26

Questionner la conformité RGPD de son SIRH

Votre SIRH respecte-t-il les obligations du règlement général sur la protection des données ?


Cat: Données - Bases de données – RGPD / DPO - Big Data et intelligence artificielle, Droit Social, Les essentiels, Veille Juridique
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< Agressivité, violence, comportement erratique du salarié : s’assurer de l’état de santé du salarié avant de prononcer un licenciement disciplinaire
07.11.2013 12:12 Il y a: 11 yrs
Categorie: Contentieux prud'homal et licenciements , Informatique, libertés et vie privée
Auteur : Me Sébastien Mataly - Avocat Toulouse - Conseil et Contentieux

La réputation de l’entreprise : lien de rattachement au contrat de travail


(Cass.soc.26 juin 2013 n°12-16.564)

Faits :

Un acte commis hors du temps de travail peut justifier un licenciement disciplinaire.

Décision :

Les dispositions du Code du travail relatives aux conditions de mise en œuvre, dans une entreprise, des moyens techniques de contrôle de l’activité des salariés ne s’appliquent pas à un système de vidéosurveillance installé pour assurer la sécurité du magasin et non utilisé pour contrôler le salarié dans l’exercice de ses fonctions. Une cour d’appel a pu décider que le comportement d’un salarié révélé par cette vidéosurveillance qui affectait l’obligation de l’employeur d’assurer la sécurité des clients et de leurs biens et se rattachait à la vie de l’entreprise, constituait une faute grave.

Intérêt :

Il s’agit d’une application de la règle selon laquelle si un fait de la vie personnelle ne peut pas en principe constituer une faute et justifier en conséquence un licenciement disciplinaire, il en va différemment s’il caractérise un manquement du salarié à une obligation découlant de son contrat de travail ou s’il se rattache à la vie professionnelle de l’intéressé.

Une vidéosurveillance mise en place sans consultation préalable du comité d’entreprise peut dans certains cas permettre d’établir une faute du salarié justifiant son licenciement même si celle-ci a été commise dans le cadre de sa vie personnelle.

Tout fait commis en dehors du temps de travail peut justifier un licenciement pour faute grave dans l’hypothèse où ce fait est de nature à porter atteinte à la réputation et à l’image de l’employeur.