FR EN

L'actualité sur la data

05.03.2025 10:29

Cloud computing : l'ANSSI publie son état de la menace informatique

L’ANSSI publie son état de la menace sur le cloud computing

Le 20 février 2025, l'ANSSI (Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information) a publié...


Cat: Données - Bases de données – RGPD / DPO - Big Data et intelligence artificielle, Droit des Technologies Avancées, Les essentiels, Veille Juridique
26.02.2025 17:16

Données, souveraineté et productivité : faut-il choisir ?

Data Privacy Framework

  « L’ironie de la rivalité, c’est que les conceptions européennes l’emportent en...


Cat: Données - Bases de données – RGPD / DPO - Big Data et intelligence artificielle, Droit des Technologies Avancées, Informatique, libertés et vie privée , Veille Juridique
10.02.2025 11:15

Nouvelle obligation de formation à l'intelligence artificielle pour les entreprises - Trust by Design vous accompagne

Formation en intelligence artificielle

Depuis le 2 février 2025, certaines dispositions du Règlement sur l'Intelligence Artificielle (RIA)...


Cat: Données - Bases de données – RGPD / DPO - Big Data et intelligence artificielle, Droit des Technologies Avancées, Les essentiels, Veille Juridique
12.01.2025 14:42

L’accélération technologique et le défi du Shadow GenAI : l’effet reine rouge

Shadow IA en entreprise : quels sont les risques et comment la combattre ? Par France Charruyer

Le rythme rapide des progrès de l'intelligence artificielle a crée une "shadow IA", l'utilisation...


Cat: Données - Bases de données – RGPD / DPO - Big Data et intelligence artificielle, Droit des Technologies Avancées, Les essentiels, Veille Juridique
29.12.2024 10:17

Le droit : une arme de défense économique au service de la cybersécurité et de la compétitivité des territoires

France Charruyer audité au Sénat sur les enjeux de cybersécurité des entreprises

Le 17 décembre 2024, France Charruyer était auditionnée au Sénat dans le cadre de l'examen du...


Cat: Données - Bases de données – RGPD / DPO - Big Data et intelligence artificielle, Droit des Technologies Avancées, Les essentiels, Veille Juridique
17.12.2024 14:55

Altij & Oratio Avocats récompensé lors du tout premier Palmarès du Droit de Toulouse

Le cabinet Altij & Oratio avocats récompensé lors du Palmarès du Droit 2024

Lauréat du Prix du cabinet le plus innovant et plusieurs distinctions majeures, Altij & Oratio...


Cat: Données - Bases de données – RGPD / DPO - Big Data et intelligence artificielle, Droit des Technologies Avancées, Les essentiels, Veille Juridique
28.10.2024 09:10

La CNIL étend son contrôle aux entreprises hors UE collectant des données d’Européens : comprendre les nouvelles obligations RGPD

La CNIL peut désormais contrôler les entreprises hors UE collectant des données d’Européens, même...


Cat: Données - Bases de données – RGPD / DPO - Big Data et intelligence artificielle, Droit des Technologies Avancées, Les essentiels, Veille Juridique
28.10.2024 08:24

Comment encadrer le déploiement de l'IA dans vos organisations ? Participez à notre webinaire exclusif !

Rejoignez-nous le 5 novembre 2024 pour un webinaire dédié à la gestion sécurisée et conforme de...


Cat: Données - Bases de données – RGPD / DPO - Big Data et intelligence artificielle, Droit des Technologies Avancées, Les essentiels, Veille Juridique
23.10.2024 21:26

Questionner la conformité RGPD de son SIRH

Votre SIRH respecte-t-il les obligations du règlement général sur la protection des données ?


Cat: Données - Bases de données – RGPD / DPO - Big Data et intelligence artificielle, Droit Social, Les essentiels, Veille Juridique
01.10.2024 11:14

Prix de la Donnée Data Ring : Altij soutient la recherche en intelligence artificielle

Data Ring récompense les meilleures innovations en IA et souveraineté numérique


Cat: Données - Bases de données – RGPD / DPO - Big Data et intelligence artificielle, Droit des Technologies Avancées, Les essentiels, Veille Juridique
voir les archives ->
< Marques et autres signes distinctifs (dénominations sociales, noms commerciaux et noms de domaine) : de la nécessité de procéder à des recherches d’antériorités
27.03.2013 17:20 Il y a: 12 yrs
Categorie: Veille Juridique
Auteur : France Charruyer, Avocat Toulouse - Conseil & Contentieux

L'activité de courtage en ligne n'est pas soumise à la déclaration

Cass. 1ère Civ., 19 février 2003, n°11-23.287


Les sites d’enchères en ligne dans le cadre de la réalisation de leur activité vont pouvoir être rassurés.

En effet, Les opérations de courtage par voie électronique qui se caractérisent par l’absence d’intervention d’un tiers dans la conclusion de la vente et d’adjudication au mieux-disant des enchérisseurs, ne sont pas des ventes aux enchères publiques.

LES FAITS : le Conseil national des ventes volontaires de meubles aux enchères publiques estimait qu’une société organisait sur son site internet des enchères par voie électronique en vue de la vente de véhicules d’occasion. Le Conseil décidait donc d’engager une action civile à l’encontre de cette société, au motif qu’elle exerçait cette activité de ventes aux enchères sans avoir effectué les démarches administratives nécessaires et préalables.

L’article L.320-2 du Code de commerce définit la vente aux enchères publiques comme « une vente faisant intervenir un tiers, agissant comme mandataire du propriétaire ou de son représentant, pour proposer et adjuger un bien au mieux-disant des enchérisseurs à l’issue d’un procédé de mise en concurrence ouvert au public et transparent. Le mieux-disant des enchérisseurs acquiert le bien à son profit et est tenu d’en payer le prix ».

LA DECISION : Dans cette affaire, la Cour d’appel, dont l’interprétation est confirmée par la Cour de cassation, a retenu que la société était un intermédiaire qui mettait en relation vendeurs et acheteurs de véhicules d’occasion et définissait une procédure pour parvenir à la vente, sans pour autant la conclure.

Son rôle demeurait donc celui d’un courtier et en aucun cas d’un mandataire.

La Cour de cassation constate également que si la vente était proposée au plus offrant, ce dernier devait par la suite, procéder seul, sans l’intervention de la société, à une nouvelle manœuvre pour confirmer son accord, de sorte que le bien mis en vente n’était pas adjugé à l’issue des enchères et que le dernier enchérisseur demeurait libre de ne pas contracter.

L’INTERET : La Cour de cassation en déduit donc que la plate forme de ventes électroniques ne pouvant être considérée comme un mandataire, son activité ne pouvait être soumise à la réglementation des ventes volontaires de meubles aux enchères publiques.

Voilà une décision qui devrait rassurer les sites d’enchères en ligne dans le cadre de la réalisation de leur activité.